Le consortium RESIPOL+ constitué autour de Nāhiti fédère ainsi un ensemble exceptionnel de partenaires académiques, territoriaux, associatifs et socio-économiques, unis par une même vision de l’innovation au service du développement du territoire :
● l’UPF (personnalité morale de RESIPOL, chef de file), institution pivot de la recherche, de la formation et de la diffusion du savoir sur le territoire polynésien ;
● les collectivités territoriales qui coopèrent pour la meilleure réalisation du Projet :
○ le Gouvernement de la Polynésie française, représenté par la Délégation à la Recherche (Ministère en charge de la recherche) qui assure l’interface avec les autres Ministères, directions et services impliqués dans le projet ;
○ le Haut-Commissariat de la République en Polynésie française, représenté par la Délégation Territoriale à la Recherche et à la Technologie ;
● le CNRS, présent en Polynésie française dans :
○ la Maison des Sciences de l’Homme du Pacifique (USR 2003), qui permet de structurer et de renforcer les SHS en Polynésie française dans une dynamique d'hôtel à projets ;
○ l’USR CRIOBE (USR 3278), l’un des plus éminents laboratoires français pour l’étude des écosystèmes coralliens, et qui permet en outre d’inscrire le projet dans une collaboration avec l’EPHE-PSL ;
● l’Ifremer, à travers le Centre Océanologique du Pacifique qui développe des recherches en appui au développement durable des filières marines en Polynésie française, et qui contribue à l’UMR 241 Écosystèmes Insulaires Océaniens (EIO) ;
● l’Institut Louis Malardé, partie intégrante de l’UMR 241 EIO, organisme de recherche spécialisé dans les domaines de la santé, de l’environnement, de l’hygiène et de l’alimentation, qui joue un rôle capital sur le territoire en matière notamment de veille et de prévention des risques sanitaires ;
● l’IRD, dont les recherches en Polynésie se focalisent sur la vulnérabilité des écosystèmes insulaires exploités en réponse aux pressions anthropiques et au changement global. L’IRD est également partie prenante de l’UMR 241 EIO ;
● l’Université de Californie-Berkeley, à travers la Station Gump située à Moorea, qui apporte un soutien opérationnel, technologique et informationnel aux programmes de recherche au sein de l’écosystème unique de Moorea.
● la Chambre de Commerce, d'Industrie, des Services et des Métiers (CCISM), qui accompagne les projets innovants polynésiens par un suivi personnalisé et expert ;
● La French Tech Polynésie, convergence des forces d’innovation de Polynésie française, qui impulse à l’échelle régionale et mondiale la dynamique Tech4Islands ;
● le Cluster Maritime de Polynésie française, qui réunit des acteurs privés issus de l’ensemble des secteurs de l’économie maritime autour du développement d’une Économie Bleue durable sur la plus grande ZEE française ;
Le déploiement du dispositif sera opéré en lien étroit avec les Services de soutien à l’innovation/valorisation des institutions partenaires, et notamment avec :
● le CNRS, qui proposera des expertises avancées sur les questions de Propriété intellectuelle (protection, portefeuille de brevets, exploitation) ;
● l’IRD à travers un référent au sein du Groupe projet opérationnel qui pourra au besoin solliciter le Département Mobilisation de la recherche et Innovation (DMOB) et notamment son service innovation et valorisation. L’IRD facilitera également des échanges d’expériences entre le projet Nāhiti et le Projet Renforcement des écosystèmes de Recherche et Innovation face aux enjeux climatiques dans le Pacifique (RERIPA) (EuropAid), qui vise à consolider les écosystèmes R&I dans la région Pacifique, avec un focus sur les enjeux climatiques ;
● la Direction du partenariat et du transfert pour l’innovation de l’Ifremer, qui proposera notamment son expertise au travers de Tickets d’Innovation.
Par-delà les partenaires au sens strict, plusieurs structures et organisations ont manifesté leur volonté de coopérer au déploiement de Nāhiti, notamment le Ministère de l’éducation, de l’administration en charge du numérique de la Polynésie française via la Direction de l’éducation et des enseignements (DGEE). Les autres soutiens au projet sont notamment :
● ADECAL Technopole, Pôle d’innovation de Nouvelle-Calédonie ;
● l’Agence française de développement (AFD) ;
● l’AUF Asie-Pacifique, au travers de sa représentation en Asie-Pacifique ;
● le Business Innovation Center (BIC) de Montpellier, incubateur d’entreprises innovantes de Montpellier Méditerranée Métropole ;
● Brigad : Entreprise à mission leader du future of work en France ;
● le Campus des métiers et des qualifications (CMQ) “Tradition de l’accueil et du partage en Polynésie française” ;
● les Directions sectorielles du Gouvernement de la Polynésie française (Direction des Ressources Marines, Direction de l’Agriculture), qui proposeront notamment une ouverture de leurs équipements scientifiques ;
● l’École Pratique des Hautes Études (EPHE-PSL) ;
● l’INPI ;
● Invest in Pacific ;
● le MEDEF Polynésie française ;
● le MESR, à travers l’appui du conseiller de la directrice générale DGESIP - Coordonnateur national Plan Esprit d'Entreprendre et des services concernés pour la labellisation PEPITE, qui appuiera la démarche d’acquisition du label ;
● Pôles PEPITE Centre-Val-de-Loire, Languedoc-Roussillon, Nouvelle-Calédonie ;
● Linkinnov ;
● Overseas Countries and Territories Association (OCTA) ;
● la SATT AxLR ;
● le Service de l’Emploi de la Formation et de l’Insertion professionnelles en Polynésie française (SEFI) ;
● les organismes financeurs du territoire (Sofidep, Banque de Polynésie, Banque de Tahiti, Socredo) ;
● l’Université de Montpellier : Direction de l’Innovation et des Partenariat et I-SITE MUSE, à travers une collaboration formalisée par un accord-cadre. L’IAE de Montpellier prendra part au déploiement des activités de formation.