8h30 - 9h : Accueil avec café et viennoiseries
9 h - 11h30 Session 2 « Surf, pratiques aquatiques, enjeux éducatifs et enjeux politiques »
[Modérateur : Sylvain Ferez (Université de Montpellier) ]
En considérant toujours le surf mais en élargissant potentiellement à une diversité de pratiques d’activités physiques et sportives en rapport avec l’océan, cette deuxième session appréhende de façon plus spécifique les enjeux éducatifs inhérents à la mise en place et au développement des sports de glisse pratiqués en milieu marin en Polynésie française. Derrière les perspectives « éducatives », les communications présentées appréhendent à la fois des questions d’inclusion (tout particulièrement en lien avec les problématiques ethniques, de genre, et plus généralement des populations vulnérables) ainsi que l’éducation dans sa forme scolaire et la place que prennent les activités physiques et sportives dans la mise en œuvre des politiques publiques. Il s’agira notamment de se questionner sur la façon dont les pratiques aquatiques peuvent être appréhendées pour penser la problématique des inégalités sociales, dont on sait qu’elles croisent les inégalités de classes, d’âges, de genres, d’ethnies, de territoires, de handicap, de santé, etc., que notamment la mobilisation du concept de bio-pouvoir permettra d’envisager de manière à la fois détaillée et globale.
Enfin, cette session sera l’occasion d’aborder la question des savoirs de gouvernement utiles à la conception et au déploiement de politiques publiques. Si, classiquement, les connaissances scientifiques issues des recherches académiques font référence en la matière, nous interrogerons la place que sont susceptibles de prendre les savoirs d’expériences voire un certain nombre de savoirs traditionnels, voire médiatiques. Plus globalement cette session pourra interroger l’enjeu de participation active de toutes les populations dans la définition des politiques publiques.
Comment évolue la problématique de l’inclusion dans les politiques éducatives du ou par le sport ? Quels sont les effets d’affichage et les réalités ? Quelles sont les activités physiques et sportives les plus mobilisables en la matière pour la Polynésie Française ? Sur ce territoire, quels sont les grands enjeux éducatifs du sport et pour quel type de population, quels profils ? Enfin, nous questionnerons la place des savoirs d’expériences, voire des savoirs traditionnels dans la construction de politiques publiques mobilisant de près ou de loin les activités physiques et sportives, tels que la gestion des littoraux, la protection des fonds marins, et le développement du foncier et du tourisme sur l’île de Tahiti, …) ? La notion de l’éducation, implicite dans ce travail, sera plus largement abordée lors des discussions comme point de réflexion essentiel.
Communication n°1 : Le surf au corps, une identité marine (Anne-Sophie Sayeux, Université Clermont Auvergne) - en visio-conférence.
Au-delà d'une simple activité sportive, le surf est perçu par les pratiquant.e.s comme une composante essentielle de leur identité. Basée sur des entretiens et enquêtes ethnographiques situées essentiellement au Pays Basque, cette communication souhaite questionner cette notion d’identité qui serait construite autour d’une expérience sensorielle maritime partagée. Nous nous appuierons plus particulièrement sur notre travail, mené auprès de l’Association Nationale Handi Surf et de la section para surf de la Fédération Française de Surf, pour envisager en quoi cette activité peut permettre aux pratiquant.e.s de se réapproprier leur corps et de se (re)-constuire une « identité marine », permettant pour un temps de dépasser leur « condition handicapée ».
Communication n°2 : Savoirs d’expérience des usagers « sportifs » de la mer et savoirs de gouvernement des politiques publiques locales (Philippe Terral, Université Toulouse 3 Paul Sabatier) - en visio-conférence.
En prenant pour terrain d’analyse le littoral Basque français, via plusieurs séries d’enquêtes, la communication rendra compte de la place croissante prise par les surfeurs dans l’action publique locale de gestion de la mer et du littoral (enjeux sanitaires et environnementaux). Nous montrons toutefois que cette « politisation des sportifs » engendre un certain nombre de tensions dans le monde du surf et ses sous-mondes. Nous soulignons également combien les acteurs les plus engagés ou militants tendent à s’éloigner des structures sportives, voire même de la pratique du surf.
Communication n°3 : L’évolution des représentations de la femme surfeuse : comment le surf a inclus le genre. Valérie Cruzin-Polycarpe (Université de Franche-Comté), Jean-François Loudcher (Université de Bordeaux) et Christian Vivier (Université de Franche-Comté) - en visio-conférence.
Le magazine spécialisé français Surf Session, créé en 1986, est resté pendant de nombreuses années le seul support médiatique diffusant la culture du surf en France. Dans la lignée d’un travail de thèse portant sur l’analyse sémio-historique des représentations de la culture surfique portées par ce magazine, une analyse quantitative et qualitative des contenus iconographiques et textuels de la revue met en exergue un événement-clé qui transforme alors radicalement la représentation des femmes surfeuses. En mai 2000, confrontées à une vague mythique, l’ouverture de l’épreuve de Teahupoo aux meilleures surfeuses du monde leur permet de conquérir une reconnaissance et une légitimité qui leur faisait jusqu’alors défaut. Est-ce le fait de s’affronter à ce mythe, jusque-là réservé aux hommes qui provoque cette rupture, ou bien les conditions socio-culturelles et politiques ont-elles changé avant cette épreuve leur permettant d’y concourir ? Le décryptage fouillé des images et des récits en amont, en aval et pendant cette compétition, est l’occasion d’identifier les raisons qui sont à l’origine de cette rupture radicale des considérations à l’égard de la pratique du surf par les femmes.
Communication n°4 : Deux villages Amazigh face au développement du surf sur la côte Atlantique marocaine. Dynamiques identitaires et gestion d’une ressource : la vague. (Bernard Moizo, I.R.D.)
Le littoral nord d’Agadir a connu un fort développement de la pratique du surf depuis une quinzaine d’années et exponentiel plus récemment. Sur cette côte coexistent des villages Amazigh enclavés ayant leur dynamique propre, d’autres ouverts au tourisme international, à de grands projets immobiliers associés à des activités sportives et culturelles. Cette dynamique soulève le problème de l’accès, de la gestion et du contrôle de la ressource, entre des populations locales, des investisseurs nationaux et des développeurs et bailleurs internationaux.
Communication n°5 : Que faut-il (ne pas) dire de ses résultats de recherche ? Les enjeux de la restitution d’un travail de thèse sur les JO 2024 à Tahiti (Thibaut Aussant, Université d’Angers)
Que faut-il (ne pas) dire des résultats d’une recherche doctorale sur l’organisation des JO 2024 à Teahupo’o … quand on les présente à Tahiti, à un mois de l’événement olympique ? En revenant sur les hésitations et les questions qui se sont présentées à l’auteur dans la préparation de cette communication, celle-ci prend le parti d’exposer, moins que des résultats détaillés, les enjeux inhérents à leur diffusion et restitution. Dans le contexte d’un colloque qui pose de manière spécifique – mais non moins explicite – la question du rôle des savoirs académiques face à l’actualité, mais également leur place face à d’autres formes de discours, ce sont finalement tout autant les enjeux éthiques de la restitution des résultats de recherche que ses effets méthodologiques que cette communication propose d’interroger.
11h30 - 13h : Pause déjeuner
13h - 14h30 : Session 3 « Surf, circulations et ancrages territoriaux » [Modérateur : Bernard Moizo (I.R.D.]
Le surf et sa pratique ne sont que ce que les individus en font. Le surf n’a pas de nature, il n’a pas d’essence : il est le produit de longs processus cosmopolites, historiques, sociaux et géographiquement situés (Guibert, 2020). Le surf est donc tout autant, et potentiellement selon les points de vue, une activité de « loisir » pratiquée de manière non-organisée ou dans une association, un sport de compétition, éventuellement professionnel, un « mode de vie », un jeu de plage, une activité économique, un rapport spécifique et consacré à « la nature », une image mobilisable par les collectivités locales, un sport olympique, une pratique aussi bien masculine que féminine ou encore une activité « contre-culturelle ». Étudier le surf c’est ainsi, selon les ancrages disciplinaires et les problématisations, questionner les régulations politiques localisées, analyser les aménagements des territoires touristiques, analyser les usages sociaux et les rapports de domination (selon l’âge, les positions sociales, le genre, etc.), mais aussi mesurer les retombées économiques et les inscriptions locales de l’emploi, identifier les processus de « technologisation » ou encore prendre en compte les régimes variés de représentation à l’égard de cette pratique, etc. Ces différents objets, témoignant de l’élasticité du surf, permettent à ce dernier, dans sa pluralité, d’être pleinement convoqué comme analyseur des phénomènes contemporains, qu’ils soient sociaux, culturels ou économiques, tel un « fait social total » (Mauss, 1923-24).
À Tahiti et dans le Pacifique plus largement, où l’historicité de la pratique lui confère une dimension identitaire plus ou moins marquée, les usages du surf sont significatifs. Aussi, l’organisation des épreuves de surf des Jeux Olympiques de Paris 2024 témoigne bien de mécanismes singuliers : au-delà des usages touristiques récurrents associés à la pratique et aux images du surf, la question de ses racines géographiques et historiques, de l’ancrage et de la circulation de la pratique, s’est invitée aux discussions entourant le dossier olympique, révélant ainsi les enjeux culturels qui lui sont associés.
Dans une logique comparative et en mobilisant des études de cas à la fois proches (à l’échelle du Pacifique) et éloignées (Monde), tant culturellement que spatialement, cette session vise à éclairer les différentes façons dont, localement, les usages du surf sont mobilisés par différents territoires, au regard des enjeux spécifiques qu’il y revêt. Si les circulations internationales, tant dans les modalités de pratique, les techniques que les valeurs et représentations, se diffusent dès le début du XXe siècle à travers de nombreux pays du monde, comment, localement, les usages du surf sont-ils mobilisés par les territoires ? Comment sont mobilisée, travaillées, valorisées les images et les pratiques liées au surf par les politiques publiques localisées ?
Communication n°1 : Surf et contextes socio-politiques : retours sur quelques terrains comparatifs internationaux pour penser le travail politique localisé (Christophe Guibert, Université d’Angers)
À l’appui de matériaux empiriques récoltés depuis deux décennies sur des terrains variés, la communication vise à exposer les modalités différenciées de valorisation du surf par les pouvoirs politiques locaux. Si des circulations internationales (pratiques et représentations) et les dimensions cosmopolites caractérisent le surf comme objet de recherche, les contextes nationaux – notion entendue dans son acception large – doivent être pris en compte afin d’éviter les pièges universalistes.
Communication n°2 : L’appropriation de l’identité culturelle des autochtones hawaïens par les californiens et ses racines dans le colonialisme d’occupation blanche (Patrick Moser, Université Drury)
À l’appui de recherches menées en Californie et à Hawaï au cours de la dernière décennie, cette communication propose de présenter les différents rôles que joue la race dans la création de la culture des plages en Californie dans la première moitié du XXe siècle, et plus spécifiquement, l'appropriation de l'identité culturelle des autochtones hawaïens par les surfeurs blancs californiens des années 1930 et 1940. L'appropriation de l'identité culturelle des autochtones hawaïens représente une extension du colonialisme d’occupation blanche dirigé contre les Amérindiens et vise à promouvoir le nationalisme blanc en remplaçant finalement et en effaçant les populations autochtones. L'apparition du surf aux Jeux olympiques est-elle une appropriation de la culture polynésienne et, finalement, une extension ou une manifestation des pratiques et attitudes occidentales ?
Communication n°3 : Traversées des frontières et circulations culturelles dans la construction des identités et pratiques dans le milieu surf (Jeffrey Swartwood, Université Bordeaux Montaigne)
Le surf est par définition profondément ancré dans le mouvement : de par l’acte lui-même ainsi que dans les déplacements inhérents à la recherche des lieux de pratique. Si les surfers sont d’une nature profondément nomadique, leurs voyages nécessitent des traversées de frontières et des dialogues culturels qui sont souvent au cœur des constructions identitaires complexes. A partir d’une réflexion sur l’importance de la traversée de la frontière entre les États-Unis et le Mexique dans le développement de la culture surf californienne, cette communication cherche à poser des questions plus vastes sur la pluralité des expériences et réalités qui composent « la culture surf » à l’échelle locale et globale. En partie, l’objectif est d’approfondir une conversation concernant les lignes, parfois très subtiles, entre partage et appropriation.
14h30 - 15h : Pause
15h - 16h30 : Session 4 « Les J.O. 2024 à Tahiti : tourisme et durabilité »
[Modérateur : Christophe Guibert (Université d’Angers)]
Les épreuves de surf des Jeux Olympiques de 2024 constituent une opportunité unique pour la Polynésie française de démontrer sa capacité à développer un tourisme durable et inclusif, selon la nouvelle stratégie « Fari’ira’a Manihini 2027 (ou FM27) [… qui] a été coconstruite avec la population locale ainsi que les acteurs publics et privés du tourisme dans une démarche collaborative initiée par le Ministère du Tourisme. [… Elle] dévoile un plan d’actions ambitieux qui protège les ressources naturelles, optimise les retombées du tourisme pour la population locale et privilégie une expérience de qualité pour les visiteurs [… et], dans les cinq prochaines années, vise à positionner la Polynésie française (Tahiti Et Ses Îles) comme une destination phare du tourisme inclusif et durable. »
L’un des défis majeurs de cette stratégie est donc de préserver l’environnement (essentiellement aquatique) et la culture tout en générant davantage de ressources financières de la part du secteur touristique. Cette dernière session aborde différents aspects liés au tourisme aquatique et aux « enjeux des jeux » en lien avec les épreuves de surf à Teahupo'o. Ainsi, il est important de comprendre les perceptions et les attitudes des résidents de Polynésie concernant les impacts du tourisme aquatique (en particulier, la plongée sous-marine) en relation avec le développement durable, et d'analyser ces perceptions pour déterminer leur influence sur le soutien futur au tourisme aquatique durable. Le surf en Polynésie, en particulier sur la mythique vague de Teahupo’o est également une activité, qui semble promouvoir un développement du tourisme durable et inclusif. Les épreuves de surf pour les JO 2024 peuvent donc être un outil pour tester la nouvelle stratégie FM27, et nécessitent une évaluation de leurs impacts économiques, environnementaux et socio-culturels à court, moyen et long terme, à partir de méthodes quantitatives et qualitatives, basées sur des entretiens, des échanges et des enquêtes auprès des résidents et des acteurs locaux. Cette session souligne donc l'importance de l’implication de la population pour la réussite d’une stratégie de développement d’un tourisme durable et inclusif en Polynésie, avec un premier test que sont les épreuves de surf des JO 2024 à Teahupo'o, petit village au bout de la route à Tahiti, qui va devenir le centre d’attention du monde pendant quelques jours, et peut-être le rester pendant quelques années.
Communication n°1 : Analyse des perceptions et attitudes des résidents de Polynésie Française à l'égard des impacts du tourisme aquatique sur le développement durable de leurs îles (Patrick Bouchet, Université de Bourgogne ; Yann Rival, Université de la Polynésie Française ; Olivier Naria, Université de La Réunion).
Au cours des 30 dernières années, une abondante littérature a étudié l'importance cruciale du soutien des résidents lorsqu'il s'agit d'encourager le développement du tourisme (Choi, Murray, 2010 ; Dyer, Gursoy, Sharma, Carter, 2007 ; Liu, Li, 2018 ; Muresan, Oroian, Harun, Arion, Porutiu, Chiciudean, Todea, Lile, 2016 ; Nunkoo, Smith, Ramkissoon, 2013 ; Peters, Chan, Legerer, 2018). Mais si la compréhension des perceptions et des attitudes des résidents est fondamentale pour le succès et le développement durable de l'activité touristique (Sharpley, 2014), peu de recherches ont mis en évidence les perceptions et les attitudes des résidents des îles à l'égard du tourisme aquatique et du développement durable dans un contexte de changement climatique. L'objectif principal de cette étude exploratoire est donc d'analyser les perceptions et les attitudes des résidents de Polynésie Française à l'égard des impacts (positifs et négatifs) du tourisme aquatique sur le développement durable de leurs îles, ainsi que de déterminer l'influence de ces perceptions et attitudes sur le soutien futur au tourisme aquatique dans une perspective de développement durable. En utilisant un modèle quantitatif, cette recherche compare les données obtenues en 2023-2024 auprès des résidents sélectionnés de manière aléatoire des 5 archipels de Polynésie Française par le biais d'une enquête en ligne utilisant Google Drive.
Communication n°2 : Une analyse des effets économiques des épreuves de surf à Teahūpo’o (Maeva Longine, Université de la Polynésie Française)
Les épreuves de surf des Jeux Olympiques « Paris 2024 » se tiendront fin juillet sur la vague mythique de Teahupo’o, à quelques centaines de mètres d’un petit village au bout de la route sur la presqu’île de Tahiti, située presque aux antipodes de Paris. De ce fait, l’organisation et les impacts sont très particuliers et révèlent des différences à de nombreux égards, par rapport aux autres épreuves des JO 2024 à Paris, ou des premières épreuves de surf à Tokyo en 2021.
Cette communication repose sur ma première année de travail de thèse doctorale, qui s’attache à évaluer les impacts économiques, environnementaux et socio-culturels de ces épreuves de surf des JO 2024 à Teahupo’o. Cette présentation se focalise en particulier sur les coûts et bénéfices économiques de court, moyen et long terme, de cet événement.
Communication n°3 : Les JOP 2024 à Teahupo'o comme outil de développement du tourisme durable et inclusif sur la Presqu’île de Tahiti ? (Marie Delaplace, Université Gustave Eiffel ; Vincent Dropsy, Université de la Polynésie Française ; Sylvain Petit (Université Polytechnique Hauts de France) ; Mondher Sahli, Université de la Polynésie Française)
Les épreuves de surf de Paris 2024 se dérouleront en Polynésie française, considérée comme l’un des berceaux du surf, à 16 000 km du village olympique et plus de 20 heures d’avion de Paris. Plus précisément, c’est le village de Teahupo’o, localisé à plus d’une heure en voiture de Papeete sur la Presqu’île de Tahiti, à la fin de la route, qui accueillera les épreuves. Ces épreuves des JOP 2024 pourraient-elles être un outil de développement du tourisme durable et inclusif, bénéficiant aux habitants tout en préservant l’environnement ?
Cette communication repose sur une méthodologie mixte (qualitative et quantitative) fondée sur (i) une trentaine d'entretiens en face à face, complétés par des échanges de courriels avec les principaux acteurs du secteur du tourisme, ainsi que les personnes impliquées dans l'organisation des Jeux Olympiques dans le pays hôte et les représentants d'associations de résidents et de protection de l'environnement, (ii) des enquêtes réalisées auprès de résidents de Teahupo’o et du reste de Tahiti et (iii) une revue systématique de la presse locale et nationale, ainsi que l’examen des quelques textes officiels consultables.
Cocktail de clôture dans les jardins de la Présidence de l'UPF